"All" compared against "Codes"
AllActionAmitiéApprenanceAutodéterminationAutorégulationCommunautéCuriositéDuréeEffetsÉmotionFacilitateurFreinsImplicationParadigmeProcessusReconnaissanceSavoirStimulationTotal
Allça avait évolué pour tout le monde, on était tous dans un mode mouvement.
c’est intéressant de voir évoluer ces petits projets là, qui deviendront plus grands, je l’espère en tout cas.
développer d’autres groupes, d’autres apprentissages
développer tout cette pédagogie, c’est-à-dire d’être vraiment dans cette dynamique d’apprenance, oui, de participer humblement à un autre modèle.
envie de partage de diffusion
j’ai envie de reproduire, cette formule
J’ai plein d’idées pour aller plus loin mais j’ai déjà des choses qui se sont concrétisées. Donc, oui, pour moi, ça a été une forme de transformation.
personne trouvait le temps
persuadé, de la nécessité de développer ce modèle dans la formation
Plusieurs sujets aussi d’actualité offerts par les cercles, plusieurs thèmes d’apprentissage intéressant avec des méthodes actuelles. Aussi, le « à distance », sans forcément de se déplacer et qui permet au niveau de toute la France de se réunir. Le Faire, le testing de méthodes, la réalisation de ce qu’on apprend.
possibilité d’intégrer un réseau élargi, grâce à la visio, pouvoir échanger avec des personnes de la France entière, peut-être même au-delà, sans contrainte géographique
ramener à une communauté de pairs ; des agents, des gars de services techniques, comment se transmettre des gestes métiers, des apprentissages sur les transformations de leurs métiers, c’est cela que je trouverai intéressant d’aller creuser.
Responsabilité : c’est effectivement dire non, s’impliquer. En tant que responsable de mon service, autant avec les collègues ça se passait bien, autant avec la hiérarchie, pour le coup, ça coinçait complètement. Si ça va pas dans mes valeurs, parce qu’on apprend tout cela aussi, il faut qu’on soit en adéquation avec nos valeurs, notre éthique quand on fait ce genre de choses et lorsqu’on voit qu’on se fait manipuler, que ça n’entre pas du tout dans le cadre même pas que nous on voudrait mettre en place, mais des choses qui sont là pour faire évoluer tout le monde, et bien on dit non, et là ce n’est pas forcément bien accepté ; donc c’est pour ça, quand je disais que j’ai appliqué, essayé d’appliquer, ça marche + pour moi, pour les groupes auxquels je suis affectée mais en dehors du cadre professionnel, ça fonctionne bien ; mais dans le cadre professionnel, il faut vraiment y aller par toutes petites, petites, petites touches
se transformer pour moi, ça a été mon cas. Et je dirais, un des atouts, c’est tous les gens, là aujourd’hui qui ont trop adoré ça, qui peuvent diffuser, embarquer (rires). Qui peuvent diffuser, c’est nous, c’est nous les ambassadrices/eurs.
très porteur pour pouvoir dire que la transition et passé à un autre modèle, c’est vraiment possible et c’est même presque facile.
Un désaccord et un fossé avec certains hiérarchiques, ça c’était évident et certains professionnels, ça a créé un certain fossé : est-ce que ça venait d’eux, est-ce que ça venait de moi, je ne sais pas ; on n’était pas sur les mêmes besoins et l’écoute par rapport à l’évolution, à la volonté d’évoluer.
noué des amitiéscontinuer à apprendre, toujours plus ; j’étais curieuse et le suis encore +
c’est participé à la transition d’un autre modèle, d’un autre paradigme
dynamique collaborative
être acteur du dispositif
J’ai découvert aussi des petites méthodes qui me permettent d’agir sur ce qui est vraiment important, de cristalliser un peu la vision.
Là on apprend avec d’autres comme professionnels, avec un médiateur, un facilitateur. C’est la non formation dont on a pu rêver avec différents design avec Isabelle sur les persona… c’est de la non formation et le CNFPT n’a pas repris car pas de la formation classique. Pour moi, c’est de la formation. On ne devrait pas devoir y aller en cachette.
le vivre parce que sans le vivre en fait ben euh difficile parfois de piger ce concept au départ
organiser du temps pour moi pour apprendre
c’est le respect du rythme, des rythmes de chacun. Cela induit la co-responsabilité et l’engagement de chacun
engagement personnel, pas besoin d’avoir l’autorisation de l’employeur.
grande latitude, la liberté qui était donnée, pour être dans l’organisation etc…
liberté à tout moment, la formation est vécue autrement que comme une contrainte, c’est libre.
possibilité d’être vraiment co-acteur, ne serait-ce qu’au niveau des horaires, des jours, pour pouvoir se réunir, pour le distanciel aussi c’est significatif, parce que cela permet une très grande souplesse
rentrer trop dans des cases. Cette liberté de pouvoir s’inscrire, de faire ou pas faire comme on le sent, de s’inscrire ou pas, c’est cela qu’il faut continuer, que chacun se prenne en main. Il ne faut pas cadrer trop. C’est un cercle ouvert.
si les gens ont envie, ont du désir, sauf contre-ordre, problème perso, ils vont venir.
soit défini dans son fonctionnement, alors dans les objectifs, le rythme, les horaires, la durée et pouvoir changer le chemin, bifurquer à un moment etc…et que tout ça se soit fait par les participants eux-mêmes ou ç’à pu être fait en amont des cercles qui ont pu tester l’idée avant que ça démarre. En tous cas, le fait que se soient les participants qui soient acteurs qui font beaucoup plus de choses que d’habitude dans une formation en termes de choix (les objectifs, le chemin, le rythme, tout le package). C’est vraiment ça qui est marquant.
« C’est vous qui allez choisir » ; c’est le lundi de 9h00 à 17h00. Je pense que c’est un atout énorme, c’est très pragmatique et important.
adapter mon emploi du temps, je le faisais pour noter toutes les dates des cercles mais je le fais aussi aujourd’hui pour d’autres sujets sur lesquels je me forme et que je veux aborderappartenance
appartenance à une communauté actrice
appartenir à un vrai collectif
appétence pour l’audace. Nous sommes devenus des audacieux.
apprenance active et puis tout ce côté maïeutique, c’est-à-dire qu’ensemble on puisse échafauder des choses, qu’on puisse les poser même si c’est confus et qu’on cherche … voilà … Surtout centré sur la pensée, la parole, la réflexion, le cheminement.
bienveillance dans le groupe ; on expérimentait avec des debriefs réguliers sur ce qu’on vivait.
bienveillance naturelle
chacun s’est approprié individuellement cette production collective pour pouvoir avancer et aller plus loin
cheminement pas à pas, avec des gens, cette découverte, ces révélations
cheminer ensemble », les 2 mots étant importants. Il y a la notion de reliance, de liens aussi. Il y a la notion de co-apprentissage.
co-apprentissage
co-responsabilité qui était très forte.
C’est ressourçant en fait. Même si parfois on a partagé des expériences où parfois, on a traversé des zones un peu de creux etc… Ben ne serait-ce que savoir que les autres aussi vivent ça, ben ça fait du bien et ça donne du courage pour continuer.
différence entre pouvoir sur et pouvoir avec, on est sur des démarches de co
dynamique d’intelligence collective
d’empathie
d’entraide
Et c’était quelque chose qui était plaisant, c’était motivant, c’était un moteur. Voilà, c’était ressourçant.
faire réseau
inclusion immédiate et singulière
intégrer un collectif, d’apprendre ensemble
intérêt
La coresponsabilité également : ça a été pour moi très apprenant : me dire à un moment, je priorise mes vacances en famille, car besoin d’une vraie pause et en même temps, il y a un engagement. On a pu échanger dans le cercle de la question de l’engagement, ce qu’on y met derrière, de comment on compose avec les priorités de la collectivité… la notion d’engagement de tout processus collectif qui était apprenante.
lien avec les autres, de simplicité aussi, retrouver une simplicité pour faire les choses ; de la convivialité, une bienveillance naturelle, pas forcée
liens aux autres, d’empathie, d’entraide
l’entraide, de la rencontre avec plein de gens qui étaient comme moi, et de se rendre compte qu’avec chacun nos personnalités, nos vécus, nos expériences, on pouvait s’apporter les uns, les autres, s’entraider, se ressourcer, évoluer aussi.
On a découvert un pan que l’on ne connaissait pas l’un de l’autre.
oser s’aventurer sur le chemin de l’innovation
pour moi, il y a eu un avant et un après ; se concrétisait une manière d’apprendre par le désir (l’eros) et par le projet et par un chemin qui se créé dans le co, ce qui fait qu’il y a toujours un intérêt et une responsabilité.
relation de confiance
rencontre et les échanges viennent au premier plan. Il n’y a pas besoin de prétexte, c’est placé au centre.
responsabilité
se relier à d’autres personnes qui sont engagées sur la même dynamique
stimulant, vivifiant
très soutenant pour la démarche parce que je savais que, il y avait ce cercle de partage en parallèle et que ça a vraiment nourrit le projet interne et je pense que ça l’a aidé à se structurer peut-être plus vite que s’ils n’y avaient pas eu des partages dans le cercle.
voir les projets pas individuels mais qui émergeaient et de pouvoir s’en inspirer et se développer
beaucoup de curiositéespace de pensée et de réflexion dans la duréecela m’a surtout appris à dire non, quand on me demande quelque chose où je n’adhère pas du tout parce que je sens une sorte de manipulation, ça m’a aidé à me questionner et et à oser dire non, car on est tous responsable.
ça m’a donné beaucoup d’énergie
je me suis senti moins seul
La notion de risque : sortir des habitudes, car le cercle était vraiment nouveau pour moi ; cela a été apprenant de voir comment on pouvait faire différemment.
apaisement
confiance
émotions positives de liens aux autres, d’empathie, d’entraide
émotions, pouvaient nous en apprendre énormément sur des situations
invisibilité de l’effort, une co-construction qui paraissait facile, parce que naturellement les facilitatrices, ont facilité et elles l’ont bien fait. On voit bien qu’il y avait une orchestration invisible qui faisait que on était parfois comme dans une cour de récré et en même temps les productions se faisaient.
joie
partage
proactivité
une porte extérieure, une bouffée d’air, un souffle. Heureuse de partager quelque chose de nouveau, de connaître d’autres personnes, d’autres gens d’horizons différents
vivant, plein de dynamique
avoir une facilitatrice, avec une agilité, un rayonnement !!
les facilitatrices, ont facilité et elles l’ont bien fait
personnes expertes dans ces dynamiques pour favoriser la prise de parole, les échanges pour que ce soit quelque chose de constructif
posture de la facilitatrice, parce que c’était deux femmes
qualité des intervenants et leur posture de facilitation, qui est complètement autre que formateur descendant pour prendre un exemple un petit peu inverse.
comment je vais pouvoir cadrer pour proposer un financement
je rejoins assez Annabelle sur les constats
le cercle c’est pas forcément adapté à tout le monde.
le frein principal est le temps long. Il faut pouvoir absolument, banaliser des vrais temps, et sincèrement, au début quand on est à fond dans son travail on a l’impression de perdre son temps. C’est trop lent, mais c’est ce temps lent qui est vraiment nécessaire et c’est cela qui est apprenant. Un des premiers freins est ce temps à dédier pour ces cercles et de comprendre que c’est nécessaire et c’est normal et qu’il ne faut pas lâcher au début.
lié en fait aux visios
l’état d’épuisement dans lequel on est un certain nombre de personnes
l’impression que ça avait demandé beaucoup d’énergie
ouloir uniformiser et imposer pour tous
participants qui n’ont pas du tout les mêmes attentes. Non pas que ce soit arrivé dans un cercle mais je me dis que ça pourrait être effectivement un frein.
Une formation avec un savoir tout construit, cela peut être rassurant pour celui qui envoie la personne en formation, pas nécessairement pour celui qui va en formation. Si on prend les services techniques, ils n’ont peut-être pas envie de formations très normées, mais plus du compagnonnage ou des choses comme cela. Le frein principal c’est un autre paradigme de formation pas encore entendu, pas très entendable pour l’instant.
implication personnelleCe n’est pas une formation, c’est un cercle, et un cercle c’est ouvert, c’est ouvert pour entrer, pour sortir.
créer ou construire par le partage, sa propre formation.
C’est pas juste « je prends un formateur et vous me dites ce qu’il faut faire », il y a à ré-ingénieriser, c’est trouver des chemins, des architectures et je trouve cela passionnant. On remet un peu de passion, du rêve, du sens et on sort du paradigme du contrôle vers celui de l’engagement vers la responsabilité, la liberté.
Différent comme paradigme de formation et ce n’est pas une méthode et je pense que tous les effets ne sont pas mesurés. Difficile pour moi aujourd’hui de me former autrement. La formation n’est pas un stock acquis, mais un chemin, un flux / ses stocks de connaissances diffusés partout qu’on a à disposition.
notion d’intention ce qui est complètement différent d’objectif.
on a le droit des erreurs et on a le droit d’être absent.
participant est acteur de ses propres apprentissages et qu’il est déjà en route vers l’action.
possible d’être créatif et d’être à la portée de tous
pouvoir y apporter sa sagacité, sa pro-activité, voilà. C’est souple, ça permet d’aller tout de suite à l’essentiel.
une autre forme de transmission existe
déconstruction de mes habitudes, ce que je retiens le plus : ralentir pour laisser de la place et co-construire sans savoir quel chemin on allait emprunter. Vraiment cette notion de ralentir ; la construction au fil de l’eau avec une facilitation tournante.
il est nécessaire d’avoir un peu plus de temps pour se synchroniser au démarrage. Le ralentissement dont je parlais tout à l’heure m’a permis de comprendre qu’aller plus vite est humainement pas possible et sur tout ce qui est intelligence collective, il est important de se poser au départ, d’aller dans le même sens, de partager une intention, de construire ce démarrage pas à pas et que ce n’était pas du temps perdu, au contraire, on en gagne ensuite.
j’ai essayé de partager aussi et cela n’a pas été forcément autorisé, on va dire, de partager ce genre de chose, car nécessite d’être préparé, intellectuellement parlant, émotionnellement parlant, car ce sont des méthodes de travail qui sortent un peu de l’action-réaction, pour le coup et qu’il faut aller au-delà, penser des choses différentes.
liberté d’engagement : chacun est libre de s’engager à la hauteur qu’il peut aussi
l’ouverture à tout le monde, qui qu’on soit (pas de niveau particulier, de hiérarchie, de savoir).
ouverture de soi, aux autres et ouverture du système qui me fait penser à ouverture du cœur, de l’esprit et de la volonté. La première chose qui m’est venue, c’est ouverture du système, sortir de ce carcan fonction publique territoriale, complètement fermé. Là, on a quelque chose complètement ouvert qu’on soit de la fonction publique ou pas et cela m’a fait beaucoup, beaucoup de bien de voir que le système pouvait s’ouvrir.
pas de pré-requis
rythme très différent
Vraiment apprenant ce cercle, dans les jeux tout ce qu’on peut élaborer : sortons un peu de la vision noire des choses et allons plutôt dans la séduction par le jeu, on apprend par le jeu sur des choses par exemple : ralentir un rythme, etc, qui peut donner envie. Oui c’est cela : donner envie.
être un sujet
la prise en compte humaine de la personne. Etre avant de faire.
on était devenu crédible par rapport aux dirigeants
apprentissages du savoir être
ce que j’ai pu découvrir sur l’intention commune, le chemin à construire ensemble a été très formateur
comment d’autres collègues ont mis en place une démarche, comment ça s’est passé, le retour d’expérience, ça c’est extrêmement riche par exemple et ça apprend beaucoup sur la manière de développer sa propre stratégie, de passer à l’acte, d’être attentif à certains signaux etc.
ça m’a appris à prendre en compte le niveau des personnes qui étaient autour de moi, qui n’est pas forcément le mien et dans les deux sens, quand je parle de niveau je ne mets pas forcément une hiérarchie ; on a des niveaux différents.
c’est un vrai apprentissage qui n’est pas ancré dans une discipline ou une thématique mais qui est une ouverture vers les transformations et vers un futur plus désirable, en soi, c’est déjà un apprentissage.
développement concomitant de savoir-être
distanciation culturelle
d’ordre pédagogique
expérimentation, donc du faire
fluctuation agile à passer du local au global et du méta au particulier et à la singularité
j’ai ouvert sur tout ce qui était l’intelligence collective, l’intelligence émotionnelle que j’apprends toute seule.
j’aime bien changer le monde, j’ai découvert des méthodes pour le faire
laisser plus de place au démarrage des choses et aussi au niveau d’une équipe, parce que j’avais peut-être un peu tendance à foncer tête baissée. Plus prendre le temps de se caler au niveau de l’équipe, voir qui veut embarquer dans le bateau, comment on se répartit et aussi la notion de déléguer des choses, moins faire les choses seule (côté associatif et pro), différer également (savoir dire non quand on pense que c’est pas prêt, quand c’est pas clair, apprendre à différer des choses.
le premier atout pour moi, c’est la transformation individuelle qu’apporte un cercle ; je suis sur mon être, sur ce que je suis et non « sur ce que je sais » = je trouve qu’il y a une vraie transformation individuelle dans un cercle.
Le premier effet, c’est la mise en lien de tout ce que j’étais en train d’apprendre
l’impact que l’on peut avoir les uns par rapport aux autres
notion de donner envie, permettre l’implication et l’engagement de chacun, sans vouloir faire à la place de…
répondre à un réel besoin par rapport à une thématique
soft skill
une distanciation par rapport à ses émotions
soutenu un projet parallèle que je menais et ça à eu un effet, je pense un peu d’accélération.148
Total161891361141251011093201148